C’est le vent solaire qui touche la surface terrestre la nuit vers 3h30, au moment où se produit la sécrétion hormonale qui influe sur nos humeurs quotidiennes.
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Dans le ciel souffle un nouveau vent et sur Terre le besoin de vérité et de liberté croît, de même que la sensation d’une mutation profonde et radicale imminente et sans précédent dans l’histoire. Ce nouveau vent accompagne et suscite le désintérêt à propos de la politique mondiale basée sur les banques et sur la dette ainsi que cette comédie quotidienne qui s’avère être une tragédie pour le plus grand nombre.
Nous sommes “éduqués” à croire que nous sommes sur une planète aux ressources limitées, séparés par des frontières à défendre et à protéger avec des armes ; à penser que nous sommes éloignés de notre source principale d’énergie – le Soleil – et obligés de combattre le “mal” tout en courant après le temps, lequel implique l’augmentation des dettes et nous mène à la mort.
Et pourtant, il n’y a pas de frontières ni de limites dans la nature.
Le vent solaire relie le Soleil à la Terre et une immense énergie “sombre” jaillit de ce qui apparaît “vide” à nos yeux. Et ce “vide” remplit le tout, l’espace céleste, les atomes et les cellules des organismes, une Nature florissante qui nous charme par Sa beauté et qui se régénère sans combustible.
Est-ce l’énergie qui fait défaut ? Non, plutôt l’intelligence nécessaire pour l’employer.
Pendant des millénaires, le “vide” était appelé éther et, en 1897, il a été “effacé“ par une expérience, et les chercheurs qui reconnaissaient sa présence ont été réduits au silence. A partir de la première moitié du XXe siècle, deux théories très connues sont revenues sur le devant de la scène scientifique – la relativité et la physique quantique – couronnées de prix Nobel mais… incompatibles entre elles. Et pourtant, il eut été facile de les concilier : il aurait fallu reconnaître que les limites de vitesse sont apparentes et… fausses. Les chercheurs qui osèrent les défier se trouvèrent face à une solution mathématique incroyable : le Back Clock, l’horloge qui tourne en arrière. Cela peut sembler impossible aux simples mortels, toutefois ceux qui observent la Nature savent bien que ce ne l’est pas.
Il s’agit de la capacité de concevoir, typique des organismes, qui a été confirmée par la découverte du code génétique. Dans l’ADN, les étapes probables d’un organisme sont balisées dès sa conception, bien avant sa naissance. Le Back Clock est une preuve de l’Intelligence Organique et la politique mondiale fait semblant de l’ignorer.
Et pour le “système mondial” ? Etant centré sur la croissance de la dette, qui est liée à celle du temps, celui-ci s’écroule avec le Back Clock.
Pour le pouvoir mondial, qui relie la croissance de la dette à la flèche “unique” du temps, le Back Clock représente la fin ; en revanche, pour ceux qui aiment la sincérité, la vraie justice et qui veulent dépasser les frontières, c’est l’occasion de participer au projet grandiose : l’évolution du mental humain, capable de démentir les limites d’énergie et l’isolement de la Terre. Le contact direct entre la Terre et le Soleil fut évident lors d’une célèbre expérience accomplie par Maurice Allais, devenu prix Nobel d’économie en 1988. Pendant deux éclipses solaires (en 1954 et en 1959), Allais observa les rotations d’un pendule comme celui de Foucault, lequel, comme on le sait, représente les rotations de la Terre. A Paris, le plan d’oscillation du pendule fait un tour complet en 32 heures. L’éclipse à peine commencée, le plan inversait soudainement sa rotation, d’horaire à antihoraire, et ne redevenait horaire qu’à la fin de l’éclipse. C’était la preuve expérimentale du Back Clock.
L’éclipse solaire – l’alignement Soleil-Lune-Terre –inversait la rotation diurne de la Terre, reflétée dans la rotation du plan d’oscillation du pendule. Un phénomène semblable fut observé aussi par la NASA lors de certaines éclipses qui suivirent. Allais interpréta ce phénomène par l’existence d’un vent dans l’espace.
Le vent solaire est notre pain quotidien avec des effets physiques et psychiques sur chaque être humain ; il montre que le vide n’est pas homogène ni isotrope (pas le même dans toutes les directions), comme le prétend le principe copernicien sur lequel se base presque toute l’astronomie moderne.
On sait maintenant que le vide est rempli d’énergie noire qui inonde et anime le tout et tous les corps, célestes et terrestres. Le vide est un océan d’ondes qui ont des amplitudes et des rythmes différents mais pareils sur des dimensions différentes. Un exemple : le cycle menstruel de 28 jours est le même que la rotation diurne de la Lune et aussi sa rotation orbitale, raison pour laquelle la Lune nous montre toujours la même face. Un cycle semblable est celui de la rotation diurne du Soleil, en 27-28 jours.
Quand il y a la pleine lune, le sommeil est perturbé, les salles d’accouchement sont actives et les crèches remplies de nouveau-nés ! Un pur hasard ? Non, car on peut découvrir les synchronisations qui nous concernent par l’observation des cycles.
“Le grand est comme le petit” disait Hermès Trismégiste.
Les rotations diurnes et orbitales impliquent aussi les particules composant les atomes et donc tous les corps, mais on les appelle par de noms différents (spins et moments angulaires). En observant ces mouvements, on peut appréhender le rôle prépondérant de la cohérence.
Un diagnostic – la Résonance Magnétique Nucléaire – montre que la santé du corps humain dépend de la cohérence de ses spins nucléaires. L’astronomie observe les rotations diurnes (spins) du Soleil et des planètes tout en étant incapable d’expliquer leur incohérence. Le système solaire est-il malade ? L’astronomie ne se pose pas la question, mais elle ne sait pas pourquoi le vent solaire – qui est de la matière, à savoir du plasma – s’échappe de l’énorme “gravité” du Soleil en échangeant les rotations horaires et les antihoraires toutes les 2-3 minutes !
Le vent solaire entraîne le champ magnétique interplanétaire et, étant donné ses inversions, témoigne de la relation quotidienne entre le Soleil et la physiologie humaine, et de la communion du système solaire et sa familiarité avec le Back Clock. Le nouveau vent offre des indices concrets pour mettre en cause la “flèche du temps” et la séparation présumée entre l’Homme et l’Univers. Ce qui est curieux, c’est que les spins des planètes montrent de l’incohérence, alors que les spins des noyaux galactiques, distants de millions d’années-lumière, montrent une cohérence instantanée, indépendante de l’énorme espace qui les sépare. Comment donc expliquer l’incohérence de notre système solaire ? En s’interrogeant sur ses nombreux mystères irrésolus.
L’un d’eux est la présence des deux ceintures de Van Allen, prisonnières de la magnétosphère terrestre qui est en forme de pomme.
Ces ceintures ont des énergies élevées, des millions de fois plus grandes que les énergies des autres particules de la magnétosphère ; elles créent un champ électromagnétique fort et éblouissant, qui procède dans une seule direction, du passé au présent.
Nos observations du ciel sont altérées par ce champ éblouissant engendré par les deux ceintures et aussi par la croyance que notre moment présent est celui de l’univers tout entier. Pourtant, Einstein a démontré la relativité de cet instant, qui dépend de l’observateur.
En outre, dans le corps humain, il existe un Back Clock tout à fait naturel : l’ADN, le code génétique qui prédispose le développement et les qualités/talents de chaque individu et qui le rend unique. Basée sur la linéarité du temps – lié à la croissance de la dette – le “savoir” actuel emploie l’unicité de l’ADN afin de cerner les coupables tout en méconnaissant sa capacité de création (projet-sens).
Sommes-nous des humains ou des robots ? Serviteurs du pouvoir ou libres de choisir nos soins mais surtout les modes de vie et de communication avec notre corps et la Nature ? Et si nous voulons la justice et la liberté réelles, la joie et la prospérité, quelles sont donc les voies à suivre ?
Les voies sont infinies, mais il n’y a qu’une voie royale. C’est la conscience, le sentiment d’identité qui nous accompagne toujours, à l’inverse de la science promue par l’école et la télé.
Pourquoi les émotions humaines sont-elles influencées par la Lune ?
“Autrefois, la Lune n’existait pas !”, comme le prétendent Aristote et Plutarque dans la Grèce antique, Apollonius et Ovide dans la Rome Antique ; leurs thèses coïncident avec les symboles d’une maison à Kalasasaya, près de Tiahuanaco, en Bolivie. La Lune serait apparue dans le ciel il y a environ 11 000 à 13 000 ans.
Les sciences diffèrent soit sur les dates, suggérées par les anciens écrivains, soit sur l’apparition de la Lune qu’ils considèrent comme étant un satellite naturel. Par contre, les indices qu’elle soit un satellite artificiel sont multiples, aussi suggérés par les astronautes qui touchèrent le sol lunaire entre 1969 et 1972, avec les 12 Missions Apollo. De nombreux mystères irrésolus accompagnent la Lune. Ils pourraient être éclaircis en considérant une nouvelle et ancienne conception de la réalité.
Notre croyance au temps linéaire nous conduit à étiqueter les événements par une date, et celle en un espace 3D, à les placer dans des endroits éloignés et inaccessibles par les humains. Notre mental est lié à où et quand mais… “Le moment est plus important que l’endroit” dit Morpheus à Neo dans le film Matrix.
Si l’on reconnaît le rôle crucial de la cohérence entre les mouvements en rotation – spins et moments angulaires – qui affectent également notre santé, on peut alors comprendre l’origine des maladies et aussi les causes de l’incohérence qui se reflète dans les mouvements du grand système solaire et du petit corps humain.
Aujourd’hui, l’axe polaire de la Terre a une inclinaison de 23° par rapport à l’écliptique, ce qui provoque l’alternance des saisons.
Cette inclinaison n’est pas fixe, mais ne change que légèrement avec un cycle de 41 000 ans. Eh bien, il y a 41 000 ans, les Néandertaliens ont disparu. L’axe polaire de la terre n’est pas aligné avec son axe magnétique. Entre les deux il y a un angle de 11°. La diversité des inclinaisons des différents axes terrestres est-elle un hasard ou une cause ? La cause pourrait avoir été l’apparition de la Lune, étant donné l’étrange histoire de son champ magnétique.
Autrefois, la Lune était magnétique mais plus maintenant.
Le champ magnétique de chaque corps est généré par son noyau. Les roches lunaires, ramenées sur Terre par les astronautes des missions Apollo, montrent l’existence d’un champ magnétique lunaire de même intensité que celui de la Terre, indiquant une histoire de la Lune bien plus ancienne que celle de la Terre. Cependant, le noyau ne développe un champ magnétique que s’il tourne.
Qu’est-il arrivé au noyau de la Lune… S’est-il arrêté ?
Il faut savoir que la rotation génère une force centrifuge alors que la gravité universelle est centripète, calculée avec la formule de Newton qui s’applique uniquement à deux corps. Le Soleil, la Terre et la Lune sont trois corps et créent un problème, résolu récemment grâce aux ordinateurs. La solution mathématique est que la Lune pourrait aussi tourner autour du Soleil !!!
Les orbites célestes ne sont pas certaines, elles dépendent des paramètres adoptés par les sujets. L’univers observé dépend de la conception de l’espace et du temps de ses observateurs, c’est-à-dire nous-mêmes. Nous sommes convaincus que l’espace et le temps sont concrets, alors que, comme le prouve la relativité générale d’Einstein, ce ne sont que les effets des deux champs, gravitationnel et électromagnétique, qui évoluent très rapidement.
Et si l’apparition de la lune avait altéré l’un de ces deux champs et incliné notre axe polaire ? Cela aurait été un cataclysme, peut-être… un déluge.
Beaucoup soulignent que la lune est trop petite pour déplacer toute la Terre et son axe polaire. Eh bien, l’explication scientifique a été donnée par Charles Hapgood dans son livre intitulé The Earth’s Shifting Crust, préfacé par Einstein.
Seule la croûte terrestre s’est inclinée, très fine et séparée du reste de la terre par un intervalle vide, connu des géologues sous le nom de l’espace Moho et inconnu du grand public, convaincu que la terre est une boule rigide, liée à la gravité à jamais. Cela est faux.
“Le haut est comme le bas” disait le légendaire Hermès.
Le champ magnétique terrestre qui entoure nos têtes est créé par le noyau cristallin situé cinq mille kilomètres sous nos pieds. La Terre est composée de couches sphériques divisées par des intervalles vides qui permettent l’indépendance des différentes rotations et les inclinaisons des axes polaires respectifs.
Pourquoi tous les corps et corpuscules de l’univers se déplacent-ils à des vitesses énormes, sans carburant ? Parce que la véritable source d’énergie est la double rotation – horaire et anti-horaire, droite et gauche – qui s’alimente sans avoir besoin de combustible. La double rotation et l’horloge arrière sapent la croyance dominante dans les limites d’énergie.
Vénus tourne en sens horaire, la surface de la Terre dans le sens contraire. Celui désigné comme «Soleil Noir», découvert en 2005 et appelé le «noyau intérieur le plus interne», tourne en sens horaire contrairement au Cœur Cristallin qui a le même rayon que Mercure et tourne dans le sens inverse.
L’astronome Edmund Halley a affirmé que les quatre planètes terrestres (Mercure, Vénus, Terre et Mars) sont l’une emboitée dans l’autre. Les études sismiques confirment que les différentes couches de la Terre ont les mêmes rayons que les planètes. Pourquoi donc nous semblent-elles si éloignées ? Peut-être parce que les deux champs, gravitationnel et électromagnétique – les deux créateurs de l’espace-temps – ont été modifiés par le «Démiurge», comme le disent les mythes…
Giuliana Conforto