Notice: Trying to get property 'geoplugin_countryCode' of non-object in /home/serviceswy/autres/universorganique/wp-content/plugins/page-visit-counter/public/class-page-visit-counter-public.php on line 227
Articles Archives - Page 2 sur 2 - L'Univers Organique

Un nouveau vent souffle sur le monde

C’est le vent solaire qui touche la surface terrestre la nuit vers 3h30, au moment où se produit la sécrétion hormonale qui influe sur nos humeurs quotidiennes.

Télécharger le PDF   Un_nouveau_vent

Dans le ciel souffle un nouveau vent et sur Terre le besoin de vérité et de liberté croît, de même que la sensation d’une mutation profonde et radicale imminente et sans précédent dans l’histoire. Ce nouveau vent accompagne et suscite le désintérêt à propos de la politique mondiale basée sur les banques et sur la dette ainsi que cette comédie quotidienne qui s’avère être une tragédie pour le plus grand nombre.

Nous sommes “éduqués” à croire que nous sommes sur une planète aux ressources limitées, séparés par des frontières à défendre et à protéger avec des armes ; à penser que nous sommes éloignés de notre source principale d’énergie – le Soleil – et obligés de combattre le “mal” tout en courant après le temps, lequel implique l’augmentation des dettes et nous mène à la mort.

Le vent solaire s’échappe du Soleil formant une énorme spirale et entraînant le champ magnétique interplanétaire avec une telle ampleur qu’il chasse le minuscule champ magnétique terrestre.

Et pourtant, il n’y a pas de frontières ni de limites dans la nature.

Le vent solaire relie le Soleil à la Terre et une immense énergie “sombre” jaillit de ce qui apparaît “vide” à nos yeux. Et ce “vide” remplit le tout, l’espace céleste, les atomes et les cellules des organismes, une Nature florissante qui nous charme par Sa beauté et qui se régénère sans combustible.

Est-ce l’énergie qui fait défaut ? Non, plutôt l’intelligence nécessaire pour l’employer.

Pendant des millénaires, le “vide” était appelé éther et, en 1897, il a été “effacé“ par une expérience, et les chercheurs qui reconnaissaient sa présence ont été réduits au silence. A partir de la première moitié du XXe siècle, deux théories très connues sont revenues sur le devant de la scène scientifique – la relativité et la physique quantique – couronnées de prix Nobel mais… incompatibles entre elles. Et pourtant, il eut été facile de les concilier : il aurait fallu reconnaître que les limites de vitesse sont apparentes et… fausses. Les chercheurs qui osèrent les défier se trouvèrent face à une solution mathématique incroyable : le Back Clock, l’horloge qui tourne en arrière. Cela peut sembler impossible aux simples mortels, toutefois ceux qui observent la Nature savent bien que ce ne l’est pas.

Il s’agit de la capacité de concevoir, typique des organismes, qui a été confirmée par la découverte du code génétique. Dans l’ADN, les étapes probables d’un organisme sont balisées dès sa conception, bien avant sa naissance. Le Back Clock est une preuve de l’Intelligence Organique et la politique mondiale fait semblant de l’ignorer.

Et pour le “système mondial” ? Etant centré sur la croissance de la dette, qui est liée à celle du temps, celui-ci s’écroule avec le Back Clock.

Pour le pouvoir mondial, qui relie la croissance de la dette à la flèche “unique” du temps, le Back Clock représente la fin ; en revanche, pour ceux qui aiment la sincérité, la vraie justice et qui veulent dépasser les frontières, c’est l’occasion de participer au projet grandiose : l’évolution du mental humain, capable de démentir les limites d’énergie et l’isolement de la Terre. Le contact direct entre la Terre et le Soleil fut évident lors d’une célèbre expérience accomplie par Maurice Allais, devenu prix Nobel d’économie en 1988. Pendant deux éclipses solaires (en 1954 et en 1959), Allais observa les rotations d’un pendule comme celui de Foucault, lequel, comme on le sait, représente les rotations de la Terre. A Paris, le plan d’oscillation du pendule fait un tour complet en 32 heures. L’éclipse à peine commencée, le plan inversait soudainement sa rotation, d’horaire à antihoraire, et ne redevenait horaire qu’à la fin de l’éclipse. C’était la preuve expérimentale du Back Clock.

L’éclipse solaire – l’alignement Soleil-Lune-Terre –inversait la rotation diurne de la Terre, reflétée dans la rotation du plan d’oscillation du pendule. Un phénomène semblable fut observé aussi par la NASA lors de certaines éclipses qui suivirent. Allais interpréta ce phénomène par l’existence d’un vent dans l’espace.

Le vent solaire est notre pain quotidien avec des effets physiques et psychiques sur chaque être humain ; il montre que le vide n’est pas homogène ni isotrope (pas le même dans toutes les directions), comme le prétend le principe copernicien sur lequel se base presque toute l’astronomie moderne.

On sait maintenant que le vide est rempli d’énergie noire qui inonde et anime le tout et tous les corps, célestes et terrestres. Le vide est un océan d’ondes qui ont des amplitudes et des rythmes différents mais pareils sur des dimensions différentes. Un exemple : le cycle menstruel de 28 jours est le même que la rotation diurne de la Lune et aussi sa rotation orbitale, raison pour laquelle la Lune nous montre toujours la même face. Un cycle semblable est celui de la rotation diurne du Soleil, en 27-28 jours.

Quand il y a la pleine lune, le sommeil est perturbé, les salles d’accouchement sont actives et les crèches remplies de nouveau-nés ! Un pur hasard ? Non, car on peut découvrir les synchronisations qui nous concernent par l’observation des cycles.

Le grand est comme le petit” disait Hermès Trismégiste.

L’inclinaison de notre axe polaire sur le plan écliptique est la cause de l’alternance des saisons consacrée par les solstices d’été et d’hiver ainsi que par les équinoxes de printemps et automne.

Les rotations diurnes et orbitales impliquent aussi les particules composant les atomes et donc tous les corps, mais on les appelle par de noms différents (spins et moments angulaires). En observant ces mouvements, on peut appréhender le rôle prépondérant de la cohérence.

Un diagnostic la Résonance Magnétique Nucléaire montre que la santé du corps humain dépend de la cohérence de ses spins nucléaires. L’astronomie observe les rotations diurnes (spins) du Soleil et des planètes tout en étant incapable d’expliquer leur incohérence. Le système solaire est-il malade ? L’astronomie ne se pose pas la question, mais elle ne sait pas pourquoi le vent solaire qui est de la matière, à savoir du plasma s’échappe de l’énorme “gravité” du Soleil en échangeant les rotations horaires et les antihoraires toutes les 2-3 minutes !

Le vent solaire entraîne le champ magnétique interplanétaire et, étant donné ses inversions, témoigne de la relation quotidienne entre le Soleil et la physiologie humaine, et de la communion du système solaire et sa familiarité avec le Back Clock. Le nouveau vent offre des indices concrets pour mettre en cause la “flèche du temps” et la séparation présumée entre l’Homme et l’Univers. Ce qui est curieux, c’est que les spins des planètes montrent de l’incohérence, alors que les spins des noyaux galactiques, distants de millions d’années-lumière, montrent une cohérence instantanée, indépendante de l’énorme espace qui les sépare. Comment donc expliquer l’incohérence de notre système solaire ? En s’interrogeant sur ses nombreux mystères irrésolus.

L’un d’eux est la présence des deux ceintures de Van Allen, prisonnières de la magnétosphère terrestre qui est en forme de pomme.

Ces ceintures ont des énergies élevées, des millions de fois plus grandes que les énergies des autres particules de la magnétosphère ; elles créent un champ électromagnétique fort et éblouissant, qui procède dans une seule direction, du passé au présent.

Nos observations du ciel sont altérées par ce champ éblouissant engendré par les deux ceintures et aussi par la croyance que notre moment présent est celui de l’univers tout entier. Pourtant, Einstein a démontré la relativité de cet instant, qui dépend de l’observateur.

En outre, dans le corps humain, il existe un Back Clock tout à fait naturel : l’ADN, le code génétique qui prédispose le développement et les qualités/talents de chaque individu et qui le rend unique. Basée sur la linéarité du temps – lié à la croissance de la dette – le “savoir” actuel emploie l’unicité de l’ADN afin de cerner les coupables tout en méconnaissant sa capacité de création (projet-sens).

Sommes-nous des humains ou des robots ?  Serviteurs du pouvoir ou libres de choisir nos soins mais surtout les modes de vie et de communication avec notre corps et la Nature ? Et si nous voulons la justice et la liberté réelles, la joie et la prospérité, quelles sont donc les voies à suivre ?

Les voies sont infinies, mais il n’y a qu’une voie royale. C’est la conscience, le sentiment d’identité qui nous accompagne toujours, à l’inverse de la science promue par l’école et la télé.

Pourquoi les émotions humaines sont-elles influencées par la Lune ?

Autrefois, la Lune n’existait pas !”, comme le prétendent Aristote et Plutarque dans la Grèce antique, Apollonius et Ovide dans la Rome Antique ; leurs thèses coïncident avec les symboles d’une maison à Kalasasaya, près de Tiahuanaco, en Bolivie. La Lune serait apparue dans le ciel il y a environ 11 000 à 13 000 ans.

Tiahuanaco, Bolivie. Selon certains spécialistes, la maison de Kalasasaya indique que l’inclinaison de l’axe polaire de la Terre a changé. Peut-être à cause de l’apparition soudaine de la Lune ?

Les sciences diffèrent soit sur les dates, suggérées par les anciens écrivains, soit sur l’apparition de la Lune qu’ils considèrent comme étant un satellite naturel. Par contre, les indices qu’elle soit un satellite artificiel sont multiples, aussi suggérés par les astronautes qui touchèrent le sol lunaire entre 1969 et 1972, avec les 12 Missions Apollo. De nombreux mystères irrésolus accompagnent la Lune. Ils pourraient être éclaircis en considérant une nouvelle et ancienne conception de la réalité.

Notre croyance au temps linéaire nous conduit à étiqueter les événements par une date, et celle en un espace 3D, à les placer dans des endroits éloignés et inaccessibles par les humains. Notre mental est lié à et quand mais… “Le moment est plus important que l’endroit” dit Morpheus à Neo dans le film Matrix.

Si l’on reconnaît le rôle crucial de la cohérence entre les mouvements en rotation spins et moments angulaires qui affectent également notre santé, on peut alors comprendre l’origine des maladies et aussi les causes de l’incohérence qui se reflète dans les mouvements du grand système solaire et du petit corps humain.

Aujourd’hui, l’axe polaire de la Terre a une inclinaison de 23° par rapport à l’écliptique, ce qui provoque l’alternance des saisons.

L’axe polaire autour duquel tourne la surface de la Terre n’est pas aligné avec l’axe magnétique généré par l’Auteur du champ magnétique de la Terre : le Cœur Cristallin en son centre.

Cette inclinaison n’est pas fixe, mais ne change que légèrement avec un cycle de 41 000 ans. Eh bien, il y a 41 000 ans, les Néandertaliens ont disparu. L’axe polaire de la terre n’est pas aligné avec son axe magnétique. Entre les deux il y a un angle de 11°. La diversité des inclinaisons des différents axes terrestres est-elle un hasard ou une cause ? La cause pourrait avoir été l’apparition de la Lune, étant donné l’étrange histoire de son champ magnétique.

Autrefois, la Lune était magnétique mais plus maintenant.

Le champ magnétique de chaque corps est généré par son noyau. Les roches lunaires, ramenées sur Terre par les astronautes des missions Apollo, montrent l’existence d’un champ magnétique lunaire de même intensité que celui de la Terre, indiquant une histoire de la Lune bien plus ancienne que celle de la Terre. Cependant, le noyau ne développe un champ magnétique que s’il tourne.

Qu’est-il arrivé au noyau de la Lune… S’est-il arrêté ?

Il faut savoir que la rotation génère une force centrifuge alors que la gravité universelle est centripète, calculée avec la formule de Newton qui s’applique uniquement à deux corps. Le Soleil, la Terre et la Lune sont trois corps et créent un problème, résolu récemment grâce aux ordinateurs. La solution mathématique est que la Lune pourrait aussi tourner autour du Soleil !!!

Les orbites célestes ne sont pas certaines, elles dépendent des paramètres adoptés par les sujets. L’univers observé dépend de la conception de l’espace et du temps de ses observateurs, c’est-à-dire nous-mêmes. Nous sommes convaincus que l’espace et le temps sont concrets, alors que, comme le prouve la relativité générale d’Einstein, ce ne sont que les effets des deux champs, gravitationnel et électromagnétique, qui évoluent très rapidement.

Et si l’apparition de la lune avait altéré l’un de ces deux champs et incliné notre axe polaire ? Cela aurait été un cataclysme, peut-être… un déluge.

Beaucoup soulignent que la lune est trop petite pour déplacer toute la Terre et son axe polaire. Eh bien, l’explication scientifique a été donnée par Charles Hapgood dans son livre intitulé The Earth’s Shifting Crust, préfacé par Einstein.

Seule la croûte terrestre s’est inclinée, très fine et séparée du reste de la terre par un intervalle vide, connu des géologues sous le nom de l’espace Moho et inconnu du grand public, convaincu que la terre est une boule rigide, liée à la gravité à jamais. Cela est faux.

Le haut est comme le bas” disait le légendaire Hermès.

Le champ magnétique terrestre qui entoure nos têtes est créé par le noyau cristallin situé cinq mille kilomètres sous nos pieds. La Terre est composée de couches sphériques divisées par des intervalles vides qui permettent l’indépendance des différentes rotations et les inclinaisons des axes polaires respectifs.

La Terre n’est pas une boule rigide, contrainte par la gravité. Elle est composée de couches sphériques qui tournent de manière indépendante l’une de l’autre. La croûte est très fine, son épaisseur varie entre 12 km et 100 km.

Pourquoi tous les corps et corpuscules de l’univers se déplacent-ils à des vitesses énormes, sans carburant ? Parce que la véritable source d’énergie est la double rotation horaire et anti-horaire, droite et gauche qui s’alimente sans avoir besoin de combustible. La double rotation et l’horloge arrière sapent la croyance dominante dans les limites d’énergie.

Vénus tourne en sens horaire, la surface de la Terre dans le sens contraire. Celui désigné comme «Soleil Noir», découvert en 2005 et appelé le «noyau intérieur le plus interne», tourne en sens horaire contrairement au Cœur Cristallin qui a le même rayon que Mercure et tourne dans le sens inverse.

L’astronome Edmund Halley a affirmé que les quatre planètes terrestres (Mercure, Vénus, Terre et Mars) sont l’une emboitée dans l’autre. Les études sismiques confirment que les différentes couches de la Terre ont les mêmes rayons que les planètes. Pourquoi donc nous semblent-elles si éloignées ? Peut-être parce que les deux champs,  gravitationnel et électromagnétique les deux créateurs de l’espace-temps ont été modifiés par le «Démiurge», comme le disent les mythes…

Giuliana Conforto

L’éveil du sixième sens

Télécharger le PDF  Eveil_6_sens

Pendant des millénaires, les religions ont fait ressortir les limites de l’homme et surtout celles de la femme. A présent, les sciences assurent les limites énergétiques et les gouvernements, eux, celles des finances. Les églises prêchent, tout en cachant leurs crises internes, alors que les académies offrent des “certitudes” démenties par les découvertes récentes. L’eau est polluée et l’air est irrespirable, la terre tremble et le “feu” (pétrole) est dans les mains de peu de gens ; par contre, le travail manque au plus grand nombre. Ce dernier est-il vraiment nécessaire pour vivre ? A mon sens non. La joie et la possibilité d’exprimer ses talents sont plus efficaces, de même que la créativité, les innovations et une coopération intelligente et alignée sur le but principal : le bien-être individuel et collectif.

Et que dire de la richesse ? Viendrait-elle de la quantité d’argent ou d’or accumulée dans des dépôts « sûrs », comme nous l’avons cru ? Non, elle dépend de la qualité de nos actions et des buts que nous nous fixons, des conditions du milieu avec lequel nous communiquons et aussi et principalement de la conscience de tout ce qui se produit dans la nature. Là-haut comme ici-bas, il y a des changements considérables à des rythmes croissants, des changements que les médias ne reportent pas et que les sciences n’expliquent pas. Nous sommes « éduqués » à croire en un « savoir » qui les ignore, à utiliser des médicaments pour nous guérir et des armes pour nous détruire, à ne pas nous interroger sur le pourquoi, après tant de régimes politiques, les discriminations sociales sont restées intactes.

L’histoire connue a été marquée par la course à l’or, d’abord le jaune – un métal estimé – ensuite le noir – le pétrole – et maintenant le bleu, à savoir l’eau. La sécheresse est le problème que le monde ne pourra pas résoudre tant qu’il est divisé en des centaines d’états tous armés et devenu fou par la douleur. L’Italie « répudie la guerre » selon sa Constitution et, en 2017, elle dépensera 27 milliards d’euros à des fins militaires, soi-disant « nécessaires » pour combattre le terrorisme ! Et si c’était plutôt l’effet de la terreur avec laquelle on traite les peuples ?

Y a-t-il un mensonge, un “péché” qui nous pousse à accumuler des armes capables de détruire non pas une mais cent fois la planète entière ?

De fines gaines de Matière Blanche enveloppent les neurones, composés de matière grise, et les relient à grande vitesse.

Selon les trois religions monothéistes venant de la Bible, nous souffrons des conséquences d’un “péché” commis par nos aïeux, Adam et Eve, qui mangent le fruit défendu de l’arbre de la connaissance. D’après nombre de spécialistes, cet arbre serait notre système nerveux central. Si c’était le cas, le fruit “défendu” serait la bipolarité, cette façon de communiquer entre charges “contraires”, qui est typique de l’électricité et des idées qui induisent à se ranger avec un parti et à combattre le parti “opposé”.

Composé de 100 milliards de neurones, cet arbre sert à transmuter la volonté d’agir en des actions théoriquement libres et pratiquement conditionnées par notre croyance aux fausses… limites.

Cette croyance n’a jamais été vérifiée et elle a été publiquement démentie. On sait qu’une énorme énergie sombre jaillit du “vide” en imprégnant le tout, même les atomes qui composent nos corps. La science la mesure mais elle n’est pas capable de l’employer, alors que la conscience l’exprime de différentes façons – art et musique, créations et innovations – qui sont souvent réprimées par l’idée tenace qu’il faut “travailler à la sueur de son front”.

Notre cerveau est peuplé de cellules qui emploient beaucoup d’énergie sombre et peu d’électricité ; elles sont en forme d’étoile et ont des capacités spéciales, différentes de celles des neurones composant la matière grise – l’arbre de la connaissance. Les cellules étoilées – astrocytes – composent la Matière Blanche. Lorsque, après la mort d’Einstein, ils ont examiné son cerveau, la seule différence par rapport aux autres cerveaux a été la quantité de cellules étoilées bien supérieure à la norme. Aujourd’hui, à travers l’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), on peut observer l’activité du cerveau vivant et les surprises sont impressionnantes. L’énergie sombre est à son niveau maximal lorsqu’on se détend, on dort ou rêve, lorsqu’on écoute de la musique, on fait du sport et des activités créatives et récréatives, lorsqu’on ne travaille pas à la sueur de son front.

La bipolarité a dominé toute l’histoire connue, de même que la lutte entre le bien et le mal promue par les religions et/ou celle entre la gauche et la droite en milieu “démocratique”. Grâce à ses propres cellules étoilées, tout être humain est capable d’utiliser une mystérieuse énergie sombre et de faire de sa propre vie une œuvre d’art, en exprimant la Magie Naturelle évoquée par les sages, les poètes et les musiciens, racontée dans les fables enchantées, imprégnée dans ce rêve d’amour éternel qui s’estompe de plus en plus.

Ce qui est surprenant, à présent, c’est l’arrivée du prince.

Klimt – Danae – La pluie dorée qui féconde l’utérus n’est pas un mythe si on reconnaît la signification humaine des découvertes scientifiques.

C’est le sixième sens, à savoir l’utilisation de cette énergie “obscure” que nous ressentons comme la vérité et qui dévoile ce que le pouvoir nous cache grâce à la complicité des médias. Il y a tant d’exemples. Il suffit de mentionner les enquêtes sur les crimes d’excellence, telle l’affaire Kennedy ou Moro en Italie, ou l’attaque des Tours Jumelles attribuée à Ben Laden, ayant comme but de conserver les guerres et les conflits religieux.

De nos jours, de nouveaux idoles, slogans et “spiritualités” confondent notre mental “gris” qui croit aux limites énergétiques ainsi qu’au besoin de produire de l’énergie, de se protéger des maladies et/ou des “ennemis”.

Le sixième sens est une expression de la Matière Blanche, laquelle est liée à la matière grise ou, pour mieux dire, elle le serait si cette dernière n’avait pas été “éduquée” à croire à la bipolarité et à la lutte entre les “opposés” et encore à ce besoin de prendre parti. La culpabilité et la peur du jugement sont à la base de notre éducation scolaire qui est un mélange intelligent de demi vérités et de demi mensonges. L’une de ceux-ci est la séparation entre la lumière et les ténèbres que “dieu” aurait accompli il y a très longtemps et qui est, aujourd’hui, faussée par les effets que les “ténèbres” ont sur la “lumière”, à savoir les corps visibles. L’accélération inattendue de l’expansion universelle serait provoquée, en effet, par l’énergie “ténébreuse” (sombre) qui foisonne dans le “vide” et même dans les noyaux de nos cellules (sous forme d’acides aminés).

Il n’y a donc pas de séparation chez les organismes vivants !!!

Par contre, elle existe bien pour les religions qui croient à la Bible et pour les sciences incapables d’utiliser l’énergie obscure. Elle existe pour la politique qui est occupée à trouver des ressources et à imposer des taxes, à produire et à déployer des armes. Cette séparation est là aussi pour tous ceux qui travaillent à la sueur de leur front, car persuadés qu’il existe des limites.

Notre croyance aux limites est le plus grand mensonge de l’histoire écrite – 6000 ans remplis de nombre d’illusions qui ont caché les voies vers la liberté : les émotions.

D’après les sciences, les émotions sont sombres et souvent à ignorer ; d’après les religions, elles sont à contrôler et à séparer entre vices et vertus. Le sixième sens est l’intégrité de toutes les fonctions, l’union permanente entre l’éros fuyant et la psyché faisant face à sa peur et se libérant du “péché”. Ce dernier étant la croyance en la séparation entre la lumière et les ténèbres, entre la vie et la mort. En reconnaissant le rôle crucial de l’énergie sombre sur notre corps, sur l’éros ou la psyché, nous découvrons que la mythique pluie dorée n’est pas vraiment un mythe.

C’est le côté lumineux de la Force que notre Matière Blanche emploie de façon naturelle alors que la pauvre matière grise continue à être “éduquée” à ignorer. C’est le Fleuve de Vie qui imprègne le tout et tous les êtres, en dévoilant la raison pour laquelle des galaxies géantes et des particules minuscules se déplacent à des vitesses énormes sans aucun carburant. C’est la “pluie dorée” qui féconde l’utérus et le cerveau, en se manifestant en talents, créations et innovations et en montrant l’Univers en tant qu’Organisme Eternel et non pas un mécanisme comme on nous le raconte.

Nous ne pouvons ni ne voulons changer les convictions de ceux qui croient au “savoir” actuel. Nous voulons communiquer avec ceux qui tombent amoureux du “prince” ou plutôt du principe qui nous libère du rôle servile qui nous emprisonne. Il s’agit de la volonté créatrice et emplie de joie de vivre et de l’action alignée à un Projet grandiose : travailler pour exprimer ses talents et non pas par “condamnation”. C’est aimer la Vie en vue de la satisfaction des vrais besoins : amitié et respect, sincérité et bonheur.

Giuliana Conforto, traduit de l’italien par Salvo Vilardo

La force qui est en train de changer le monde – Interview de Florinda Balli

 Florinda Balli est journaliste, traductrice et auteur. Elle s’intéresse en particulier à la psychologie, à la philosophie et à la spiritualité. Elle a publié en français La médecine des deux espace-temps (Ideabooks). http://www.mutamenti.ch

 

Florinda – Vous parlez d’un message adressé à l’humanité. De quel message s’agit-il ?

Giuliana – Du Message Vital dont parlent les Evangiles : Jésus, parlant de lui-même, se définissait comme le « Messiah », le Messager. Cette notion a été abolie au moment du premier Concile de Nicée, en 325 après J.-C., par le dogme selon lequel Jésus est « de la même substance que le Père » et par conséquent un « Dieu » qui a besoin de Ses « représentants » sur Terre pour communiquer avec les hommes. Le Message Vital se reconnaît dans le code génétique, ou ADN, dont l’évidente intelligence a été sous-estimée, ou même ignorée par les sciences qui n’observent que la lumière électromagnétique, portée par des messagers sans masse, les photons. Mais cette lumière n’est pas la seule existante. « Il y a une autre Lumière » disent les Evangiles. Cette Lumière, la physique la découvre enfin en 1973 : il s’agit d’une Force portée par des messagers massifs, les bosons, capables d’animer et de mouvoir (co-mouvoir) les macromolécules qui composent les organismes vivants.

Florinda – Pourriez-vous décrire plus précisément la différence entre la lumière électromagnétique et la Force dont vous parlez ?

Giuliana – La Force est la synthèse de deux forces bien connues – électromagnétique et faible – et est donc nommée Électrofaible. Sa découverte a valu plusieurs prix Nobel : pour la théorie d’abord, puis pour la preuve expérimentale effectuée au CERN de Genève. Définie comme une « nouvelle » forme de Lumière, la Force existe depuis toujours dans la Nature. Elle est à la fois une et trine, portée par trois types de bosons vecteurs (désignés comme W+, Z et W-) qui coopèrent entre eux, elle est omniprésente. La Force a les mêmes vertus attribuées à « Dieu » avec une surprise supplémentaire : le corps humain est en communion naturelle avec le flux des bosons neutres Z, que nous pourrions appeler « le côté lumineux ». Elle est invisible à nos yeux, mais perceptible sous forme d’émotions, de sensations ou d’intuitions. C’est selon moi ce fleuve de la vie dont parlait Héraclite il y a 2500 ans et dont tant d’autres sages, poètes et civilisations dites « primitives » nous ont laissé le témoignage.

Florinda – On n’a pas beaucoup parlé de ce flux dans les médias spécialisés en divulgation scientifique. Pourquoi ?

Giuliana – En effet il a été ignoré. Les relations entre ce flux et les métaux qui composent les instruments scientifiques sont rares et difficiles à observer. Ses relations avec les molécules organiques qui nous composent, mais qui d’habitude n’intéressent pas les physiciens, sont par contre faciles. Pour les reconnaître nous devrions abattre les « frontières » qui séparent la physique de la biologie et surtout remettre l’être humain, donc nous-mêmes, au centre de la recherche. En citant les Évangiles, nous pourrions dire que ce flux « sépare le bon grain de l’ivraie », c’est à dire le vivant de ce qui le pollue.

Florinda – Un peu comme l’alchimiste qui sépare le pur de l’impur ? 

Les trois phases de l’alchimie : l’œuvre au noir, l’œuvre au blanc, l’œuvre au rouge

Giuliana – Exactement : le flux des bosons Z peut favoriser le travail alchimique, le passage de l’œuvre au noir à l’œuvre au blanc, c’est à dire nous permettre de passer du chaos, lié à Saturne et à l’hiver, au Printemps Cosmique, l’aube d’une ère nouvelle. Selon moi c’est ce qui est en train d’arriver, ce qui explique que les « puissants » s’efforcent de provoquer des guerres.

Florinda – Mais pour quelle raison ?

Giuliana – Les « puissants » dominent le monde par la peur et « doivent » exaspérer cette peur pour conserver leur pouvoir, car la Force est en train de changer ce que nous avons cru immuable jusqu’ici : le temps. Le temps habituel est la durée du jour, liée à la rotation de la Terre qui est en train de… ralentir. Au cour de ces dernières 30 années on a été obligé, à 36 reprises, d’ajouter un « leap second » aux horloges atomiques. Ce qui signifie qu’il n’y a pas un temps unique sur lequel nous baser pour compter (dans les finances, dans le travail, dans les sciences etc.). Nous sommes à « la fin des temps », comme il est écrit dans l’Apocalypse de Saint Jean, et ce n’est pas la fin du monde, mais la Révélation du grand ŒUVRE qui compose les temps. Nous avons trouvé le « soulier de Cendrillon » et ce n’est pas un conte de fées mais la Matière Blanche, la partie la plus importante de notre cerveau. Cette Matière forme la « chaussure » de la matière grise – Cendrillon réduite à servante mécanique – et peut la restituer à un rôle de souveraine. La Matière Blanche utilise une énergie obscure et est composée de cellules spéciales en forme d’étoiles.

Florinda – Ce sont les cellules que l’on nomme astrocytes ?

Giuliana – En effet. Les astrocytes connectent à très grande vitesse les neurones, les cellules de la matière grise qui est en soi lente et rigide. C’est pour ce motif que l’on nomme la Matière blanche « le métro cérébral ». Selon les neurosciences c’est le siège biologique de la conscience, selon moi c’est ce sens d’identité qui nous accompagne indépendamment de l’âge et du moment historique. Je le décris dans ma dernière vidéo : UNIVERS ORGANIQUE ET L’EVOLUTION HUMAINE

Florinda – Notre sens d’identité est donc donné par les cellules de matière blanche du cerveau ?

Giuliana – Il est donné par son habileté à utiliser l’autre Lumière « obscure », le Message Vital ou flux des bosons Z, le fleuve de la Vie qui est éternel et unit tout être vivant à l’Univers infini. L’identité c’est le contact avec le Message Cosmique qui anime tous et que presque toute la « connaissance » ignore.

Florinda – C’est le message dont nous parlions avant ?

Giuliana – En effet et il mine toutes les formes de pouvoir puisqu’il crée une connexion entre chaque individu et toute la collectivité humaine, la terre et le ciel; le Message comporte une éthique naturelle, il n’a pas besoin d’une morale imposée, ni de lois qui nous lient à un temps unique et immuable. Le Message est comme un habile chef d’orchestre : il dirige les temps ou les rythmes infinis du Grand Œuvre.

Florinda – Nous sommes donc reliés au cosmos ?

Giuliana – Oui, nous sommes un avec tout et pas seulement à l’infime partie observée qui, selon les calculs ne représente que le 5% de la masse totale. Nous sommes unis également au 95% qui reste et que nous ne voyons pas, mais que nous pouvons sentir. Ce sont les effets de l’Intelligence Organique qui a créé la matrice.

Florinda – Vous dites donc que ce que nous voyons est une matrice; qu’entendez-vous par là ?

Giuliana – Je veux dire que nous sommes entourés par une réalité virtuelle dont nous voyons l’écran – l’espace-temps en 4D – et dont nous ignorons le cyberespace et le Message vital, le champ ou la Force qui le parcourt et qui nous donne la vie. S’il s’agit de la Force Électrofaible, cela confirme les enseignements millénaires de la tradition hermétique. Selon le Modèle Standard de la physique, les trois bosons (W+, Z et W-) sont en communion avec trois types de matière composés chacun de quatre particules, douze en tout, comme les apôtres autour de Jésus. Les trois types de matière peuvent composer les trois corps de chaque être humain : ceux que la tradition hermétique appelle physiqueéthérique et astral. Les trois sont mortels, mais en communion avec le corps éternel, composé par les trois bosons : le corps igné, ou de feu. Ce dernier représente l’identité éternelle que de nos jours nous pouvons reconnaître plus facilement car nous assistons à des événements bouleversants, dont l’apparition de l’antimatière.

Florinda – Que signifie l’antimatière ?

Giuliana – L’antimatière est une matière qui présente des charges et des rotations opposées à celles de la matière. Si la matière tourne dans le sens des aiguilles d’une montre, l’antimatière tourne en sens opposé et donc vient du futur qui… existe déjà. Nous ne sommes pas en mesure de le voir car il est caché par la « pomme », la magnétosphère qui nous entoure. C’est sans doute pour cela que « manger la pomme » est synonyme de « péché » : cela signifie ignorer cette éternité dont nous faisons partie. De nos jours l’antimatière apparaît brusquement partout, même dans les noyaux atomiques qui composent les corps physiques. En nous, cela prend la forme d’une sensation de changement total.

Florinda – Comment apparaît l’antimatière ? 

Giuliana – De beaucoup de manières différentes. La plus évidente est liée aux Flash Gamma Terrestres (TGF –Terrestrial Gamma Flashes – en anglais). Les sondes spatiales les observent dans la haute atmosphère, mais ils peuvent se manifester également au sol et être inobservables car l’atmosphère est opaque pour ces fréquences. L’on observe mille cent TGF par jour et chaque flash émet en quelques millisecondes autant d’énergie que le soleil en plusieurs milliards d’années. En outre les TGF précèdent les éclairs lumineux que nous observons à l’œil nu…

Florinda – Les flashes gamma portent de l’antimatière ?

Giuliana – Oui et ceci est un indice de leur provenance : un monde dans le futur qui existe déjà et qui se dévoile à l’improviste, ainsi que l’avaient annoncé de nombreuses prophéties à partir de l’antiquité. Les flashes gamma sont des processus nucléaires et ils ne sont pas nuisibles comme on le dit parfois; au contraire ils sont bienfaisants, ils participent au grand Projet de la Vie. Il s’agit de l’évolution génétique, un changement de la matière organique qui compose le corps humain et qui permet à ceux qui le veulent de devenir le sel de la terre. Comme par hasard les physiciens nomment aujourd’hui « saveur » le chiffre quantique qui dépend des relations entre un corps et le Message, relations qui en somme dépendent de notre volonté. Nous pouvons aujourd’hui contribuer à une nouvelle saveur du monde, accomplir l’alchimie organique.

Florinda – Vous parliez d’un changement de spin du corps humain, n’est-ce pas ?

Giuliana – Oui, il s’agit d’un alignement des spins nucléaires qui composent notre corps, une syntropie qui peut nous guérir du chaos ou de l’entropie qui cause la maladie, comme le prouve de nos jours une méthode de diagnostic bien connue, la Résonance Magnétique Nucléaire. L’alignement implique la cohérence avec le Projet de la Force et Son côté lumineux : la liberté individuelle et l’harmonie collective.

Florinda – Le côté lumineux de la Force… comme dans la Guerre des étoiles ?

La Trinité a toujours suscité l’intérêt des artistes

Giuliana – C’est l’un de ses nombreux noms. En fait c’est la communion ou le contact avec le Message Vital que nous ne voyons pas, mais que nous sentons comme sensation ou intuition, créativité ou innovation. Et l’attention au Message dépend de notre volonté.

Florinda – Vous donnez une interprétation particulière du terme « notre pain de chaque jour » qui, dans le Notre Père, paraît être la requête d’une nourriture matérielle. Qu’entendez-vous par là ?

Giuliana – A mon avis le « pain de chaque jour » est un paquet d’hormones sécrétées chaque nuit par nos glandes endocrines peu avant l’aube. Il s’agit de centaines d’hormones, de grosses molécules organiques qui sortent du néant et qui influencent nos humeurs. La sécrétion hormonale est dirigée par la glande pinéale qui se trouve au centre de la tête.

Florinda – Cette glande ne correspond-elle pas au chakra de la couronne ?

Giuliana – En effet et c’est une bonne occasion pour sortir de cette Babel de noms. Chakra, en sanskrit, signifie « roue ». Selon moi les chakras sont des trous blancs tournoyants  qui émettent de la matière (hormones) et sont en contact instantané avec les trous noirs qui eux l’absorbent. L’existence des trous noirs dans le ciel est bien connue. Si les chakras sont des trous blancs tournoyants, il y a communion entre chaque être humain et l’Univers. Giordano Bruno parlait de « fils invisibles » qui le reliaient au tout. Aujourd’hui nous pouvons comprendre que le corps humain est un terminal Intelligent d’une réalité cybernétique.

Florinda – Une réalité que l’on pourrait comparer à internet ?

Giuliana – Bien sûr, mais avec en plus l’élément crucial qui manque à internet : le Message Vital. Les « fils invisibles » ont été retrouvés. Une équipe mondiale d’astronomes a étudié les mouvements de 100 000 galaxies et a reconnu qu’ils sont tous alignés sur des fils (voir la video). Le champ électromagnétique emploierait des milliards d’années pour les aligner. Qu’est-ce qui les relie à l’instant ? Le Message, le flux des bosons neutres que les physiciens appellent maintenant « courant neutre faible ». Quelque soit le nom qu’on lui donne, il cause les mouvements qui nous unissent au tout, ceux que nous pouvons sentir comme é-motions (mouvements du sang – hémo signifie sang en grec), les expressions de cette Force extraordinaire qui se nomme Vie et qui est capable de surmonter les catastrophes, de mourir et de renaitre.

Florinda – Vous pensez qu’un grand changement est imminent sur terre ?

Giuliana – Je crois que oui, et non seulement sur la surface, mais aussi dans le ciel en haut et en bas, dans le cœur de la Terre. Mais surtout dans la sensibilité humaine. Les mouvements en bas sont observés par les géophysiciens qui étudient la propagation des tremblements de terre, qui sont au fond des ondes acoustiques. Ces mouvements n’ont que peu d’écho dans les médias, qui suivent davantage les astrophysiciens qui n’étudient que les lumières c’est-à-dire les ondes électromagnétiques. En outre l’antimatière a été observée également dans les noyaux atomiques et donc elle pourrait se trouver dans nos corps où elle serait perçue comme projet, changement imminent.

Florinda – Selon certaines théories ésotériques nous avons sept corps.

Giuliana – Exactement. J’ai dit, pour simplifier, que la Force communique avec trois types de matière, mais il est prouvé qu’elle communique également avec trois types d’antimatière. Les trois types de matière tournent dans le sens de aiguilles d’une montre et vont du passé vers le futur. Les trois types d’antimatière font l’inverse (tournent dans le sens horaire contraire) et le corps igné est l’éternel présent. Avec l’éveil de la Force les sept corps peuvent être les sept notes d’une octave. Leur syntonie est le mariage alchimique qui autrefois était réservé à quelques héros et qui maintenant, grâce à l’éveil de la Force, sera à la portée de tous ceux qui le veulent.

Florinda – Selon certaines écoles ésotériques, il y aura des personnes qui changeront de vibration et seront en harmonie avec les temps, tandis que d’autres non. Le pensez-vous aussi ?

Giuliana – Oui, je pense qu’il y aura probablement une sélection, une auto sélection au fond. Attention aux noms trompeurs : les « vibrations » sont des effets éphémères, liés à la lumière électromagnétique illusoire. Les rotations, ou spins, concernent les noyaux atomiques qui ont une masse égale au 99,99% de chaque corps. Si les rotations du « cœur » changent, le saut est pratique et réel. De toutes façons nous sommes dans une réalité cybernétique qui au fond est une école d’émotions, dont le but est leur compréhension, nécessaire pour se fondre avec l’identité véritable, le corps de lumière qui lui est éternel et ne meurt pas. 

Florinda – Peut-on dire quand se fera le saut ?

Giuliana – C’est très difficile car cela dépend aussi de nous. Beaucoup l’ont déjà accompli ou sont en train de l’accomplir individuellement. Le saut collectif devrait se faire dans quelques années. La petite pomme – la magnétosphère terrestre – est en train de se dissoudre à une vitesse accélérée. Selon la science académique il s’agit d’un « bouclier protectif », mais ceux qui sentent et aiment la Vie savent que celle-ci est une Force cosmique et n’a aucun besoin de protection. Il y a maintenant une autre nouveauté, observée par la NASA également : la reconnexion magnétique entre la petite magnétosphère terrestre et la Grosse Pomme qui entoure tout le système solaire, l’héliosphère. Celle-ci invertit sa direction tous les onze ans. Sa prochaine inversion devrait avoir lieu en 2025 et pourrait impliquer également celle de la petite pomme.

La Trinité dans la Crucifixion

Florinda – Le changement amènera des catastrophes ?

Giuliana – Le changement est déjà évident dans des événements naturels qui ont lieu et qui n’amènent aucune catastrophe. Selon moi celles-ci seront dues aux conflits humains plus qu’à la Nature. Pour cette raison les « élus » ou auto-élus pourront jouer un rôle important. La Nature monte dans l’échelle céleste dont les marches sont les spins. Ceux qui participent à l’ascension – c’est-à-dire ceux qui agissent dans la pratique pour le bien commun – changent leurs relations avec le Message qui devient plus intense et favorise la montée des autres qui sont prêts à abandonner l’échelon inférieur. Ce dernier est dominé par la croyance dans le bipolarisme et la lutte entre des supposés « contraires », c’est l’échelon qui nous a rendu « ennemis ». L’ascension nous rend amis, disposés à aimer le prochain, à abandonner les armes et les productions nocives, à outrepasser les limites, c’est à dire à comprendre qu’elles sont fausses.

Giuliana Conforto, entretien Florinda Balli

La lutte inutile des idées

Alors qu’en Europe le débat tourne autour de l’austérité et la prospérité, tout est en train de changer soudainement et rapidement. La véritable crise n’est pas seulement politique et financière, mais aussi et principalement humaine et culturelle. A mon avis, nous sommes arrivés au nœud du problème. Une fausse conception de la réalité.

“Une seule Force unit et engendre des mondes infinis et intelligents” disait Giordano Bruno. Pourtant, les Sciences de l’Espace ne les voient pas. Les sondes mettent neuf ans pour rejoindre Pluton et découvrent des planètes similaires à la Terre, “distantes” de milliers d’années lumière de celle-ci. Elles “oublient”, par contre, les types  différents de matière qui se trouvent ici-bas. L’espace nous apparaît “creux”, mais il est plein de matière et d’énergie sombre, lesquelles sont à même de composer des mondes infinis et intelligents, en communion naturelle avec le monde observé.

Le climat oscille entre sécheresse extrême, averses destructrices et tornades qui ont parfois leur propre personnalité. Et s’il s’agissait du passage de vaisseaux spatiaux composés de matière sombre ? On expliquerait alors pourquoi ils créent de la vapeur, c’est-à-dire des nuages : la matière sombre émet de la chaleur et ne reflète pas la lumière électromagnétique, qui est le seul type de lumière que l’astronomie observe, fidèle au principe copernicien, pourtant démenti par de nombreuses recherches. Voir mon livre Petit Soleil. L’espace peut se comporter comme une salle aux miroirs courbes et sélectifs, à savoir capables de fausser les distances et les dimensions des corps et de montrer que les images sont les ombres des idées – donc illusoires – d’après G. Bruno. Les planètes similaires, “distantes” de milliers d’années lumière les unes des autres, pourraient être des reflets et Pluton, lui, le reflet froid d’une Terre chaude.

“Croire aux catégories d’espace et de temps est une stupidité évidente”, affirmait G. Bruno au XVIe siècle. Les experts diffusent les découvertes de la NASA sans suspecter les conséquences humaines et sociales d’un “savoir” qui croit en un espace “creux” et en un temps unique sur lesquels se basent les finances.  Sur ce cadre illusoire, la lutte des idées est un jeu inutile, une tragicomédie qui, tout en changeant de personnalités et de régimes politiques, conserve depuis des millénaires la distribution inégale de la richesse et rend ce monde un enfer.

Août 2015 : dans le ciel il y a le carré Saturne-Jupiter, l’un symbolisant l’austérité et l’autre la prospérité ; sur Terre, on continue de débattre les mêmes idées… en vain. Un pur hasard ? Non, plutôt un indice de la conspiration perpétrée par un “savoir” qui méconnait l’Univers infini qui est Un, dit G. Bruno : c’est l’Etre Organique et Intelligent composé de mondes infinis et intelligents, chacun ayant son propre type de matière et son propre temps. Des mondes invisibles mais qui ont des effets enfin reconnaissables.

L’astrophysique a reconnu la cohérence instantanée des mouvements de cent mille galaxies qui nous apparaissent “distantes” de millions d’années lumière ! Et nous, on souffre pour une poignée d’euros “certifiés” par les banques…
Nous sommes dans une réalité ombragée, selon G. Bruno. Dans notre langage moderne : nous sommes dans une matrice. Une matrice que nous pouvons, enfin, modifier sans besoin de lutter, mais seulement en reconnaissant cette vérité sublime qu’est la Vie universelle, la seule Force qui relie des mondes infinis.

La lutte des idées – austérité et prospérité – est le jeu d’un “pouvoir” impuissant à changer les choses.

La véritable puissance est la conscience humaine, jusqu’à présent paralysée par la peur de notre mental qui nous fait croire être seuls et abandonnés sur une planète sans ressources et qui est rivée à l’espace “creux” et au temps unique comme étant à la base de toute discipline. Est-ce des lois de la nature ? Non, ce sont des inventions humaines dictées par la méconnaissance de l’infinité des mondes et des temps. J’en parle dans mes ouvrages sous de différents perspectives.

Giuliana Conforto

Petit Soleil

Il y a un Petit Soleil au coeur de la Terre : c’est un unique Cristal qui tourne plus vite que le reste de la planète. Cette découverte est unanime, reconnue par tous les géophysiciens depuis 1995, mais hélas, méconnue… Les théories n’expliquent pas le mouvement libre du Cristal, ne connaissent pas les causes des mouvements de la planète, ceux-ci étant plus nombreux que les trois plus connues : diurne, annuel et précession des équinoxes. Et puis la grande nouveauté : le Cristal est le cœur de la Terre visible et aussi d’une Terre Nouvelle – la plasmasphère – aujourd’hui visible depuis les satellites par rayons ultra-violets.

La Terre Mère est-elle enceinte ? 

En vente dans la boutique

La Terre Mère n’est pas seulement la planète ; c’est toute la matière qui réfléchit la lumière électromanétique, donc c’est tout l’univers observable qui a élargi comme s’il était une matrice gravide.  Maintenant des changements soudaines impliquent le cœur de la terre-planète, la surface où nous sommes et tous les champs magnétiques, terrestre et solaire. Dans ce livre Petit Soleil, trois amis physiciens plongent dans une enquête passionnante à fin d’apprendre la nature de l’Enfantement qui semble imminent. Conscients de la cécité de la science, ils redécouvrent une antique méthode d’apprentissage : l’Art de la Mémoire, l’usage du cerveau émotionnel dont nous sommes tous dotés, mais que l’éducation réprime. C’est ainsi qu’ils découvrent la Source de la Vie – le SOLEIL CRISTALLIN – qui, par ses mouvements co-meut tous les mondes, visibles et invisibles, tous vivants, intelligents et pareils dans leurs formes.

Le Petit Soleil Cristallin est aussi la Source des messagers faibles  – sons nucléaires à très hautes fréquences – les notes de musique de l’HARMONIE éternelle composée par le Cristal même. Les trois découvrent alors l’OPERA intelligent du Petit Soleil et de la Force faible: Musique, Lumière lourde, qui actionne les “cordes” les plus intimes. De la Magie ?  Non, une réalité : les “cordes” sont les particules nucléaires qui composent les corps naturels surtout ceux des humains, sensibles aux émotions et capables d’entendre la MUSIQUE universelle, ce grand OPERA du Cristal.

Par l’Art de la Mémoire, le cerveau se révèle une antenne capable de transmettre et recevoir la Lumière lourde, émise par le Cristal, et de dévoiler les mensonges millénaires d’une “connaissance” ignorant la Vie, l’espace, le temps et la matière. Le ciel n’est pas un espace vide, peuplé de sphères pleines, mais un plasma dense qui glisse à travers les voiles magnétiques en forme de pomme, ou mieux une série de pommes emboitées les unes dans les autres. A peine cernées par le sciences et cachées au plus grand nombre, ces pommes sont en train de se dissiper très rapidement. Participant à une aventure de plus en plus enthousiasmante qui affine leurs perceptions, les trois physiciens mènent leur enquête jusqu’au bout. L’Enfantement est la Naissance d’une nouvelle conscience humaine, l’évidence de notre immortalité. La grotte où voit le jour l’Enfant Solaire n’est pas un mythe, ni une crèche : c’est tout simplement la magnétosphère terrestre. Et “manger la pomme” n’est pas un péché, mais le piège de tous ceux qui croient en la lumière illusoire – électromagnétique – incitant à prendre la pomme pour la réalité. La pomme c’est un ensemble d’écrans plasma qui entourent la Terre, une télé cosmique qui cache la vraie réalité faite d’univers infinis et intelligents. L’espace est comme une salle aux miroirs, une école pour nous reconnaître et aimer la seule Force, la VIE, l’Amour.

Les sons nucléaires sont ceux que nous ressentons comme éros et émotions.

En se montrant, le Petit Soleil bouleverse la pomme. Est-ce la fin ? Oui, la fin de la Grossesse Cosmique et d’une gigantesque illusion d’optique. C’est la révélation du Grand OPERA, la Vie qui nous fait naitre, mourir et aujourd’hui ressusciter à l’éternité.

 

Petit Soleil, en vente ici, un voyage passionnant parmi les replis sublimes de la nature, les émotions délicates de l’homme et… les mensonges féroces de l’histoire. Est-ce la Terre qui tourne autour du Soleil ou est-ce le Soleil qui tourne autour de la Terre ? Ce faux dilemme est le défi à relever pour trois amis physiciens à la recherche de la vérité. Réveillant d’anciennes mémoires et élaborant de récentes données, ils bouleversent les fondements de la culture officielle. Parmi leurs nombreuses découvertes figure l’horizon sensible, à savoir le cerveau émotionnel humain. Sensible aux mouvements, générés par la Lumière nucléaire que les physiciens appellent “faible”, ce cerveau est instantanément connecté à la Source de la même Lumière. C’est le Petit Soleil Cristallin qui n’émet pas de lumière électromagnétique. Il est le Cœur Cristallin de la terre; il compose et émet des sons que nous, les humains, sentons comme conscience, l’unité du tout, le monde. Le Petit Soleil est également au cœur d’une nouvelle Terre que les sondes spatiales ont observé dans l’ultraviolet. Cette nouvelle Terre a une forme embryonnaire et est plongé dans une grotte réelle et concrète : la magnétosphère solaire, similaire à un utérus parsemé d’étoiles. Continuer la lecture de « Petit Soleil »

Le retour de l’éther et de l’harmonie

L’Apocalypse est la révélation de la “tyrannie” qui a réduit les humains en esclavage. Telle “tyrannie” est notre crédo aux limites des ressources, promu par un “savoir” qui est fonctionnel au pouvoir et démenti par les événements en cours. Une énergie noire immense est en train de jaillir du “vide” quantique…

Bien que l’énergie noire constitue environ 70 pour cent de l’univers et que nos cellules l’utilisent régulièrement, les scientifiques ne savent pas ce que c’est. Ils savent qu’elle jaillit du “vide”, provocant des effets observables. Certains ont observé ces derniers aussi lors des éclipses.

Un exemple est donné par Maurice Allais, prix Nobel de l’Economie, lequel, en 1954, a observé les mouvements du pendule de Foucault toutes les 14 minutes – pendants 30 jours et nuits consécutifs – dans son laboratoire à Paris. Ces jours-là, il y eut une éclipse solaire. Selon la physique connue, aucun effet ne devait se produire, mais pendant l’éclipse, le pendule fit un tour inattendu, une rotation anti-horaire. Ce fait est connu comme effet Allais et alimente encore les débats. Ce tour inattendu était une inversion de la rotation terrestre (Foucault avait démontré que le pendule enregistre la rotation de la Terre). Selon Allais, c’était la preuve de l’anisotropie de l’espace. Les observations de l’effet Allais sont rares et plutôt contradictoires. L’annonce de la vérification de l’effet Allais par la NASA avant l’éclipse du 11 août 1999 attira l’attention des médias, tandis que les observations de l’éclipse solaire du 26 janvier 2009, en Ukraine et en Roumanie, séparées par 440 km, sont restées réservées aux spécialistes, car elles défient, sans doute, des convictions communes telles que la gravité et le temps linéaire.

Au contraire de ce que l’on croit, l’inversion temporelle ne se limite pas au conte de fée d’Alice aux Pays des Merveilles. C’est une technique utilisée depuis des décennies dans le domaine optique et maintenant aussi avec les ultrasons. L’inversion temporelle peut avoir également une signification humaine : c’est notre capacité à formuler et à réaliser des projets tout en défiant l’idée commune que seulement le passé est réel et que le futur dépend des institutions telles que les gouvernements, les églises et les banques.

De plus en plus d’êtres humains réalisent que le passé est un ensemble de mémoires que nous n’avons jamais vérifié en profondeur et que nous relions à théories et théologies, démenties toutefois par les événements naturels en cours. Quasiment toutes les théories se basent sur un “seul dieu” – le temps linéaire – tandis que les théologies découlent  de la célèbre “séparation de la lumière des ténèbres” accomplie par “dieu” au commencement. Par contre, cette “séparation” advient aussi quand on choisit de n’observer que les effets observables et d’ignorer ceux obscurs. Les effets observables soutiennent le “savoir” orthodoxe alors que les “obscurs” suggèrent des “hérésies” comme, au fait, les inversions temporelles qui sont à même d’inverser les spins nucléaires de nos corps. Et si elles étaient ce que nous ressentons comme intuitions, sensations ou prévisions ?

De toute façon, la durée de notre jour est un effet de la rotation diurne, vers l’est,  de la surface terrestre. Une rotation qui change et qui pourrait changer pendant les éclipses. Il faut aussi remarquer que la rotation est par rapport au “vide” qui, lui, est à l’arrêt selon le point de vue commun. Cependant, si on reconnaît la nature co-mouvante du “vide”, il y a une possibilité renversante : tout se meut et il se peut que les relations entre le “vide” et la surface de la Terre soient en train de changer.

Les astrophysiciens méconnaissent les causes des rotations diurnes des planètes. Les géophysiciens ont reconnu que la Terre est composée de différentes couches ayant chacune sa propre rotation et donc sa propre durée du jour. Les médecins relient la santé du corps humain à l’alignement de ses spins nucléaires et la physique constate  que tous les spins de l’univers ont la même unité de mesure ou des multiples entiers de cette unité. Le spin est une des propriétés des particules, au même titre que la charge électrique. Le spin donne une sensation de tourbillon, mais… Pourquoi tous les spins ont la même unité ? Peut-être parce qu’ils ne sont pas des propriétés des particules et/ou antiparticules, comme on croit, mais plutôt des effets du vide quantique qui est comme une mer secouée par des vagues et des vortex doubles, centripètes et centrifuges, qui tournent à droite et à gauche et qui ont des valeurs discrètes. L’énergie du vide et l’énergie noire pourraient ne faire qu’un.

Si c’est le cas, il faut revoir de façon radicale notre conception de la matière et aussi notre culte pour le “dieu temps linéaire”. Ce “dieu”, qui règle les salaires et les profits et qui régit les histoires et les dettes croissantes, pourrait être une interprétation de nos yeux qui n’observent que les basses vitesses.

Etant donné que même les hautes vitesses existent, nous pouvons vérifier si l’ancienne séparation “divine” est plutôt une séparation humaine, concernant la scission entre ce que nous voyons et les émotions que nous ressentons. Nous sommes aussi à même de vérifier si le lien entre le “dieu temps linéaire” et la dette croissante (global debt clock) est un fait objectif ou une invention de peu de gens qui en ont bénéficié et qui conservent la distribution inégale de la richesse.

Ces vérifications pourraient conduire à une révélation historique, réalisée par ceux qui veulent un monde sage et juste pour tout un chacun, un signe de liberté par rapport aux institutions en profonde crise.

La vraie réalité est l’envers de ce que nous voyons…

A présent, il y a des événements naturels sans précédent que les médias ne rapportent pas. Outre les tragédies et les massacres, il se passe également des “exercices” militaires massifs. Il semble que le monde se prépare pour une guerre totale ou pour subir une catastrophe globale. Si l’on observe les événements avec attention, on peut comprendre qu’ils annoncent une surprise extraordinaire, évoquée depuis toujours : la fin des temps, à savoir le commencement de l’harmonie éternelle.

Au cours de toute l’histoire humaine, il y a toujours eu un “ennemi” à combattre ou à craindre. A présent, le changement climatique est considéré comme un danger global nécessitant des actions urgentes, d’après les récentes déclarations du président des Etats Unis. “Il faut une conversion écologique globale”, a affirmé le pape François, en rappelant l’utilisation de combustibles renouvelables, l’efficacité énergétique et une nouvelle alliance entre science et religion afin de  combattre le changement énergétique mené par l’homme. Et si ce changement était, en revanche, mené par l’univers ? Cela signifierait le retour de l’éther.

“L’éther ramènera l’harmonie dans le monde”, disait Aristote (384-322 av JC).

L’histoire de l’éther remonte à l’antiquité et a été acceptée telle quelle pendant des millénaires. En 1644, Descartes affirma que l’éther est composé de vortex au fond desquels il y a un corps céleste ou une étoile. De nombreux physiciens sont d’accord pour dire que le « vide » est une mer multidimensionnelle dont les vortex nous paraissent des particules et/ou des antiparticules, apparemment divisées, mais en fait unies par les mouvements de la mer. En 1887, une célèbre expérience « abolit » l’éther et, depuis lors, les académies ont éduqué des générations de physiciens à le considérer comme étant une ingénuité d’anciens philosophes. Certains avaient mis en lumière que seulement l’éther statique avait été banni et non pas celui fluide ou plutôt superfluide. Cependant, leurs thèses furent niées et ridiculisées, car elles impliquent des conséquences renversantes telles que l’antigravité, les vitesses superluminales et mêmes les inversions temporelles.

Maintenant, on passe de surprise en surprise : ce « vide », rempli d’énergie noire, est dans le ciel, sur Terre et même dans nos cellules. Les cellules gliales, qui constituent la matière blanche de notre cerveau, utilisent l’énergie noire, tandis que nos neurones, qui constituent la matière grise, ne l’utilisent pas. Tout en étant créative, belle et ambitieuse, la matière grise a été “éduquée” au sacrifice et à la résignation et reléguée à un rôle servile, telle Cendrillon, obligée d’obéir à sa « belle-mère » : une société cynique qui exploite ses efforts et l’oblige à s’endetter pour survivre. Une surprise époustouflante est que sa “chaussure” a été trouvée et elle est toute petite, comme dit le conte de fée.

Il s’agit de la matière blanche, composée de fines gaines myélinisées qui enveloppent les neurones, les isolent électriquement et règlent leurs signaux. Ces gaines constituent la « chaussure » qui ramène Cendrillon – notre matière grise –  à la résidence royale, à la liberté d’aimer et d’être aimée, indépendamment du “dieu” temps et des intérêts bancaires croissants. Cela n’est pas un conte de fée. C’est la capacité naturelle de notre matière blanche d’utiliser l’inépuisable énergie noire qui jaillit du “vide”. Cette énergie peut nous libérer de tous les liens, tels que la gravité, l’électromagnétisme et le champ nucléaire fort ; elle est sans doute seulement en contact avec la force “faible” qui crée les temps. Si nous utilisons de façon consciente les capacités de notre cerveau, nous pouvons  profiter de ressources illimitées ainsi que guérir du syndrome millénaire de la pénurie. La soi-disant “énergie noire” pourrait être le Principe Féminin qui contient le tout et le nourrit, la Pachamama des cultures andines, la Substance Mère dont tant de sages ont parlé, le Nun mentionné dans les anciens papyrus égyptiens. L’énergie noire, à savoir l’éther dynamique, pourrait aussi provoquer les mouvements de notre sang que nous ressentons comme éros et émotions ou déclencher des aperçus et des capacités créatives que les êtres humains ont toujours démontré. Nous pourrions enfin devenir conscient du rôle souverain de l’humanité et comprendre que le changement climatique n’est pas un danger à craindre, mais la révélation d’une prospérité générale à laquelle nous pouvons contribuer.

Giuliana Conforto

Physique, Dieu et les Dieux

Eh bien, ils ont finalement trouvé la soi-disante «particule de Dieu», le boson de Higgs. Après tant d’années de recherche, des milliers d’employés ingénieux et des coûts incalculables, nous avons maintenant une «certitude» : «Dieu existe» ou mieux «Higgs existe».

Comprenons-nous ; moi je suis contente. Cela confirme le Modèle Standard qui est mon cheval de bataille et qui m’a permis de me dissocier des modes spirituelles et de pénétrer la nature complexe de la matière, démontrer qu’il n’y a pas un seul type de matière comme on le croit : il y en a trois, et tous les trois unis au champ, révélé au CERN dans les années 80, et appelé «électrofaible». Ces trois types, ajoutés à ce champ forment, à mon avis, les quatre éléments – le Feu, l’Air, l’Eau et la Terre – que Empédocle avait défini il y a environ 2500 ans. D’une manière analogue aux quatre bases de l’ADN, ces quatre éléments peuvent expliquer l’existence des univers infinis, tous unis entre eux, et chacun composé d’une des «combinaisons infinies de la matière», comme disait Giordano Bruno. Aujourd’hui, nous pouvons spécifier que les combinaisons se rapportent à 6 quarks et 6 leptons, et pas seulement : ces combinaisons se rapportent également aux 6 anti quarks et aux 6 anti leptons, soit un total de trois types de matière et trois types d’antimatière.

Jusqu’ici tout va bien. Mais ce qui me dérange, cependant, ce sont les tonalités triomphantes des propagateurs zélés et même des tons de l’astrophysique qui en profite pour fournir des «certitudes», qu’elle ne possède pas, et pour «confirmer» une image de l’univers qui ne fonctionne pas du tout. Qui invoque «dieu», évoque une controverse entre la science et la religion qui cache l’ignorance commune : le rôle du temps.
Le boson de Higgs se désintègre en temps ultra, ultra rapide et de diverses manières, parmi lesquelles mes deux favoris : l’une est celle en une paire de bosons Z, qui combine différents types de matière et d’antimatière, et l’autre est celle en quatre mésons qui forment les rayons cosmiques dont l’origine est l’un des grands mystères non résolus, tout autre sauf secondaire. L’intensité croissante des rayons cosmiques semble liée au réchauffement global de la planète et cela met une pierre tombale sur le dernier coup de bluff perpétré par les «bons gars» qui veulent sauver la terre : l’effet de serre d’origine humaine.

Aujourd’hui beaucoup ont compris que la division entre le bien et le mal, ou entre à gauche et à droite, n’est qu’apparente, utile pour créer les alliances, les conflits, et surtout pour maintenir la vraie puissance qui domine le monde : celle de la finance. Mais quelques-uns  d’entre nous ont entrevu la véritable origine de ce pouvoir qui crée des dettes pour les décharger ensuite sur les populations. Il s’agit de la connaissance orthodoxe qui ne sait pas ce qu’est le temps. Et pourtant, le temps est la base de tous les calculs : les salaires, les bénéfices, les intérêts composés, les dettes, et même les «valeurs» telles que les écarts et les PIB qui déterminent la politique économique mondiale.

Aujourd’hui, l’astrophysique reconnaît qu’elle est incapable d’observer 96% de la masse qu’elle a calculée elle-même, tout en observant l’expansion accélérée des 4% restants. Cet état de fait, qui a été même primé en lui attribuant un Prix Nobel, bouleverse le «dieu», qui est apparu jusqu’ici éternel : le champ gravitationnel, lié à l’autre «dieu» qui domine la technologie actuelle, le champ électromagnétique. Ce dernier est le créateur de l’espace et du temps. Fidèle sujet de ces deux «dieux» l’astrophysique «oublie» son terrible aveuglement, «oublie» le rôle crucial des rayons cosmiques et assure que l’univers observé – à peine 4% – est âgé de 13,7 milliards d’années. Et nous, pauvres humains, n’atteignant même pas 100 ans de vie et ayant une petite histoire d’à peine 13 mille ans, sommes «ses uniques» observateurs intelligents. L’abîme temporel, qui divise l’homme et l’univers, se propose alors en cascade sur tout, sur la Terre qui aurait seulement 4 milliards d’années, sur la formation des ressources pétrolières qui remonteraient a des millions d’années et sur les limites des ressources, garanties par tous, bons et mauvais, tout cela pour justifier la nécessité de les monopoliser, de déployer les armées sur toute la planète pour les «défendre» et peut-être prêts à construire des églises pour bénir ces mêmes armées.

Le fait est qu’aucune discipline orthodoxe, de la science à la religion, sait ce qu’est la Vie. Si la Vie est «la seule force qui anime les univers infinis et intelligents», comme le dit Giordano Bruno et si Elle est la force que les physiciens appellent électrofaible, comme je le propose moi-même, l’orthodoxie est bouleversée de fond en comble. Ils devraient reconnaître que l’Eglise catholique n’a pas du tout l’exclusivité de la communion avec «dieu», ni n’a aucun droit d’excommunier.

En tant que Force universelle, la Vie est en communion avec tous et a deux côtés à travers lesquels elle se manifeste, tout comme le suggère la saga de Star Wars : l’une est le «dieu», le champ électromagnétique, et l’autre est le champ nucléaire faible, connue des initiés, mais inconnu du grand public grâce à l’attitude servile des médias envers l’orthodoxie. Ce champ n’a pas été placé sur le piédestal de Dieu, heureusement et par hasard, se trouve être le seul qui peut nous donner la communion instantanée avec les «combinaisons infinies de la matière», c’est à dire avec les univers infinis que l’astrophysique calcule mais n’observe pas. Et non seulement.

Le courant nucléaire neutre, porté par l’énorme flux de bosons Z, peut coïncider avec le Fleuve de la Vie, évoqué par Héraclite, avoir des effets bénéfiques sur les organismes et, avec des calculs à la main, démentir de manière flagrante l’idée de l’insuffisance des ressources. La Vie se reproduit en un temps très court. Aujourd’hui, nous savons que tous les processus de vie sont des milliards de fois plus rapides que l’unité de temps – la seconde – que la science orthodoxe prétend mesurer avec la précision d’un millionième de milliardième de seconde.

Malheureusement, ceci n’est pas suffisant pour observer des phénomènes tels que la conception, le développement embryonnaire, la sécrétion hormonale, le repliement des protéines, c’est à dire tous les processus vitaux, essentiels pour notre bien-être et notre santé. Donc, la Vie reste un «mystère» et ainsi on évite d’enquêter sur les «moments fugaces», ceux des intuitions et de la créativité, sur le sens de l’éros réprimée par toutes les religions, ces moments uniques qui marquent les choix essentiels, des petits moments qui changent tout, qui submergent le passé et créent un futur nouveau. Au lieu de proposer de nouveaux «dieux», les médias feraient bien mieux de s’interroger sur le rôle, désormais tragique, du pouvoir temporel, ou bien de la croyance globale en un temps unique, linéaire, immuable, à la base de toute la société.

Est-ce que le temps existe ? Presque n’importe qui serait prêt à jurer que oui. Certaines personnes plus raffinées font une distinction entre le temps linéaire, promu par le pouvoir temporel ayant son siège central à Rome, et le temps cyclique, typique de toutes les civilisations anciennes, y compris les Mayas, avec leurs différents calendriers, et l’éternité typique des «dieux» vénérés par la science orthodoxe : les deux champs, électromagnétique et gravitationnel. Le premier créa l’espace et le temps, et le second créa le poids sur la terre et la gravité qui lie la terre même au soleil.

Au lieu de les appeler des «dieux» et de les faire passer pour éternels, nous devrions reconnaître que ces deux champs évoluent et se transforment  à un rythme accéléré. Ce sont des thèmes et des faits qui n’ont aucune mention à la télévision, ni dans les dernières pages des journaux, ils démontreraient que la science ne sait pas ce qui est entrain de se passer et évite le problème principal : le sens du temps.

«Grâce» au pouvoir temporel, les religions ont favorisé la dépendance globale du monde envers le temps. Contrairement à ce que l’on croit, la science n’a pas été en contradiction jusqu’au fond. Il est vrai qu’Einstein a démontré l’élasticité et la relativité du temps, mais seulement à des vitesses proches de celle de la lumière qui ne nous concerne pas, simples mortels. Comme le disent les orthodoxes. Nous n’avons pas besoin des neutrinos pour comprendre que des vitesses superluminiques existent. Toutes les antimatières renversent la flèche du temps, mais … nous ne devons rien savoir.

Nous pourrions «découvrir» ce que toutes ou la plupart des équations de la physique témoignent déjà : le temps n’a pas une seule direction, il ne court pas seulement du passé au futur, mais aussi dans le sens inverse, du futur au passé. On pourrait aussi penser que l’âge de l’univers, les 13,7 milliards d’années, soit le résultat d’observations limitées à la moitié du «dieu» du champ électromagnétique – le passé – et que rien n’empêche que l’autre moitié – future – existe déjà. Enfin, cela pourrait révéler la grande déception de toute la connaissance orthodoxe, une volonté tenace de cacher le présent, l’instant qui ne figure pas dans les équations, mais dans la conscience humaine. C’est celui par lequel nous pouvons agir pour créer un nouvel avenir. Certes, pour agir, il faut la volonté et c’est celle-là que toute la «connaissance» déprime ou réprime.

Le monde est orphelin, c’est-à-dire sans père et sans volonté. La seule prière suggérée par les Evangiles, au sujet du Père. Quelle peut être la volonté d’un père ? Le bien de tous ses enfants, et non pas des privilèges pour le peu d’enfants plus forts et la charité pour tant d’enfants faibles, pas la misère étendue désormais à tous, dictée par la fausse insuffisance des ressources et par les «limites» présumées de l’homme.

Pendant que la découverte du boson de Higgs se trouve sur toutes les premières pages des journaux, qui le prennent pour «dieu», celle des neurosciences est passée en sourdine.

L’énergie sombre est présente dans le fonctionnement du cerveau humain et opère de manière mystérieuse, mais cruciale, surtout quand nous sommes au repos et lorsque nous planifions un nouveau futur. Notre cerveau a des potentialités énormes, des contacts directs avec des univers infinis qui ne peuvent pas être observés, si nous nous contentons d’observer la moitié du «dieu» champ électromagnétique. Si nous utilisons nos capacités cognitives, plutôt que nous prosterner devant l’autel où on rassemble les «dieux», nous pouvons reconnaitre que nous ne sommes pas obligés de «travailler à la sueur de notre front», mais que nous sommes libres d’utiliser la ressource infinie : la conscience, le contact avec les «combinaisons infinies de la matière», contact aussi profond que réel au point de reconnaître sa propre communion avec l’éternel présent.

Aujourd’hui, de nombreux phénomènes, reconnus mais considérés comme des mystères, n’atteignent pas les honneurs des manchettes, ou sont inondés d’interprétations fausses et tendancieuses, comme cela s’est produit à propos de l’effet de serre, cause supposée du réchauffement planétaire. En attendant, tout le système solaire se réchauffe et personne ne le dit à la télévision.

Comprenons-nous, nous survivrons, et ce n’est pas la fin du monde. Cependant, il se pourrait que ce soit la fin des «dieux», y compris l’infiniment «bon» qui vous envoie en enfer pour «crimes sexuels». Il se pourrait que ce soit la révélation que les «dieux» n’ont pas une existence indépendante, mais dépendent des observationsdes actions et des interprétations des hommes.

C’est la révélation à laquelle je souscris …

Giuliana Conforto

La naissance d’une nouvelle conscience

En ces temps de crise et de difficultés en tout genre, je suis heureuse de vous donner une très bonne nouvelle : l’Univers Enfant, est en train de naître… et nous, nous sommes en train de renaître.

Ce n’est plus de la science ni de la science-fiction, ce n’est pas du domaine de l’esprit ni du mythe qui, tout de même, nous aide à appréhender l’ÉVÉNEMENT en le dévoilant.

L’ Univers Enfant est à présent vu par les sondes spatiales et il est, depuis des décennies, entendu par les signaux radio qu’il émet. D’après les scientifiques, il s’agit de la “plasmasphère” – la Terre même – observée aux Ultra-violets extrêmes. A ces fréquences, la surface solide où l’on court, lutte et souffre, disparaît à nos sens…

Grand comme quatre à cinq fois la Terre, sa mère, l’Univers enfant a le même Cœur que sa mère et il est tellement vaste qu’il peut contenir nombre d’autres mondes – “obscurs” à notre vue très limitée – qui sont pourtant réels, parmi lesquels la Terre Promise, un monde que l’on pourrait qualifier de surnaturel de notre point de vue humain limité.

Il y a un “secret” que peu  connaissent : la matière que nous percevons n’est pas la seule existante. De telles matières “obscures” – à savoir indépendantes des lois soi-disant « naturelles », composent des mondes intelligents, invisibles et sensibles, que le cerveau humain peut finalement capter. Nous avons atteint le terme d’une Grossesse Cosmique, la libération d’une vie utérine, dominée par une tyrannie dont nous nous sommes tous rendu esclaves : le temps, relié au pouvoir, à l’argent et à l’intérêt bancaire, une fausse dette qui nous emprisonne. La fin de cette grossesse ressemblant à une crise des valeurs virtuelles auxquelles nous avons donné crédit. Il s’agit d’une crise qui nous conduit à une “connaissance” qui ignore la signification de la mort…

A partir de là, l’Utérus qui enveloppe l’Univers Enfant se dissout. C’est la “Bulle” que les astronomes appellent “héliosphère” et qui témoigne d’un fait renversant : nous occupons une “place spéciale” dans l’univers, contrairement à ce que prétend l’astronomie copernicienne “Ennemie” implacable de l’astrologie, également en crise.

Une série d’événements ultra-rapides sont en train de modifier le ciel et cette“Bulle” qui fait miroir. Cela est démontré par les données scientifiques ainsi que par la NASA; et le miroir, on le sait, sert à nous connaître nous-mêmes…

Le cadre, dépeint par l’astronomie copernicienne, est le miroir d’un esprit humain qui exalte ses conquêtes et cache ses défaillances. Outre le temps,même l’espace est en crise. Si la “Bulle” est un miroir ou, pour mieux dire,une gigantesque salle aux miroirs, l’espace calculé jusqu’à présent n’est qu’une illusion d’optique.

L’espace et le temps changent, car leur cause – la matière normale – change.

Celle-ci est Vierge, à savoir recouverte de voiles, et pourvue d’énergies nucléaires énormes.

Les hommes “classiquement cultivés” ne connaissent que l’énergie nucléaire forte – utilisée pour les bombes et les centrales nucléaires – et ignorent l’énergie nucléaire faible qui, elle, peut tout guérir en un instant. Les deux forces nucléaires – faible et forte – ont de puissants effets sur notre corps : c’est ce que nous ressentons comme éros et thanatos. De nos jours, c’est notre relation avec cette énergie douce, « faible » et brûlante, l’éros, qui est en train de provoquer l’alchimie et la Naissance d’une nouvelle conscience.

Combien de gens participeront à l’Accouchement? Tous ceux qui le veulent.

Le “problème” est que presque personne ne sait. Peu de gens lèvent les yeux au ciel et prennent conscience des anomalies qui s’y produisent : traînées chimiques tracées par les avions, nuages étranges, lumières colorées qui précèdent les tremblements de terre. Un tout petit nombre seulement d’êtres humains comprend la nature de l’ ÉVÉNEMENT annoncé, pourtant depuis des millénaires. Heureusement, ce n’est pas la quantité qui importe. Il suffit de très peu de gens pour donner une allure nouvelle à la matrice – ce sont ceux qui sont disposés à réaliser l’alchimie, devenant ainsi le sel de la Terre. Cet ÉVÉNEMENT est, en effet, une alchimie, un processus nucléaire faible, naturel et bénéfique, passé à la postérité comme un “miracle”: la résurrection des corps.

L’ÉVÉNEMENT est en cours et modifie déjà la matière qui compose tout l’univers observé, y compris les corps et les esprits de ses observateurs. L’acte final pourrait aboutir en 2012 ou 2013, lorsque le champ magnétique solaire devrait inverser sa polarité (à condition que le cycle des tâches solaires garde son rythme habituel).

La fin du monde ?

Non, plutôt la fin des mensonges qui l’ont rendu si fou et si tragique, et le début de la liberté et de la vraie justice ainsi que l’avènement d’une société organique, pourvue finalement de son ingrédient essentiel : l’auto-conscience.

Giuliana Conforto